Les yeux humides, je tremble et humidifie le coton de mon t-shirt. l'orage n'y est pour rien. Je viens tout juste de découvrir une mine d'or. Une vraie, avec des pépites véritables, aux dimensions infernales (certaines vont même jusqu'à 1158 x 1668 pixels). Une fille, peut être une femme, Claire Belliard, s'est mis en tête de scanner et de compiler la quasi-intégralité des parutions de Paolo Roversi et de Peter Lindbergh. Un travail de bibliothécaire, obstiné et précis, qui flirte avec la monomanie mais qui nous offre des images rares, certaines prises alors que nous n'étions encore que de vulgaires gamètes. Il pleut dehors, tant mieux.
Par Arnaud
de rien
Rédigé par : arnaud | 31 mai 2009 à 21:31
juste merci
Rédigé par : Dylan | 29 mai 2009 à 11:42
Pas autant que ton adresse email.
Rédigé par : Foucauld | 27 mai 2009 à 11:05
c est beau
Rédigé par : cram | 27 mai 2009 à 10:57